La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1534)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1533) -
Chapitre 9 bis : Le prêt -
- Va le chien, va renifler le cul de ton congénère, va faire connaissance avec cette pute qui toffre son trou !, mordonnait le Maître
Javançais donc à quatre pattes vers celui qui navait dautre possibilité que de soffrir outrageusement. Je collais mon nez sur cette entrée intime. Jhumais ces odeurs de cul, de sexe avec enivrement et ravissement. Je percevais ces effluves comme une puissance érotique mettant en éveil lensemble de mes sens. Ma queue ruisselait de désir
un désir incontrôlable ! Le Maître près de nous mordonnait maintenant de passer ma langue, de bien humidifier et lubrifier de ma salive cet anus mis à disposition. Là encore, mes papilles se délectaient de ces saveurs, cétait plus quagréable ! Je léchais, me régalais, broutais et bouffais cette corolle flétrie au gout de sperme, une véritable délectation. Mes gémissements étaient en accord avec les siens, telles deux salopes en chaleur, deux chiennes ayant besoin lun et lautre de prendre du plaisir sans aucune once de pudeur. Alors que je mactivais toujours, ma langue cherchant maintenant à pénétrer cet orifice humide, le Maître mattrapait par mon collier pour me redresser.
- Reste à genoux salope et plante ta nouille bandante entre les fesses de romainsoumis, juste le bout de ta queue, enfonce seulement ton gland, rien que ton gland.
Puis le Maître sadressait à Romain :
- Tu as intérêt à bien ouvrir ton cul de salope, si tu ne veux pas porter non-stop un gros gode pendant 48 heures au moins.
Romain avait très bien compris la consigne, je menfonçais en lui sans la moindre difficulté, comme si ma nouille érigée était aspirée dans son conduit brulant. Jeus du mal à ne pas lempaler totalement. A cet instant, on frappait à la massive porte ouvragée du bureau.
- Ne bougez surtout pas, sinon vous pourriez le regretter
, nous menaçait le Noble sur un ton sans appel.
Walter entrait suivi dune femme blonde aux cheveux longs, avec une mini-jupe en cuir, un corsage blanc largement dégrafé sur une poitrine opulente. Elle était perchée sur des escarpins à talons aiguilles. Elle me paraissait vulgaire, avec ce chewing-gum quelle mâchait ostensiblement, avec ce rouge à lèvres rouge écarlate, avec cette couche épaisse de fard à paupières sombre
On eut dit un travelo du bois de Boulogne.
- Bonsoir mon cher Edouard, je savais que je pouvais compter sur vous
, disait cette femme à la fois agitée et excitée
- Bonsoir Alice, comment allez-vous ?, lui répondait Monsieur le Marquis très calmement et souriant.
- Très bien, mon cher Edouard.
Alice jetait un bref regard hautain sur Romain et moi alors que le Maître la fit assoir près de Lui.
- Vous savez comme je suis, Edouard, je my prends toujours à la dernière minute
Pourtant, cest un anniversaire important pour Jean. Il a soixante ans demain !
Ma queue ne mollissait pas, je restais très concentré, parfaitement immobile, toujours le bout de ma pine engagée entre les fesses de mon congénère, avec toujours cette une folle envie de le pénétrer entièrement, bandant à lextrême
- Oui en effet, Alice, je me souvenais de cet anniversaire, je nai pas oublié !
- Ce sont ces deux, que vous avez choisis pour lui ?
- Jai pensé ma chère Alice quau moins lun des deux pourrait vous convenir
.
Jécoutais sans entendre ou tout au moins sans comprendre
Le Maître et cette femme parlaient bien de Romain et de moi
mais quel était le lien avec cet anniversaire ?
- Il ne me semble pas les avoir déjà vus au Château, ces deux-là ?
- En effet, ce sont deux nouvelles recrues
Ils viennent tous deux de me rejoindre !
- Humm des esclaves à la chair fraîche, Jean va adorer.
Alice sétait relevée brusquement, était arrivée à grandes enjambées vers nous. Elle attrapait ma chevelure, me tirant brusquement en arrière pour dégager mon sexe encore semi coincé dans cet orifice brulant et humide.
- Lève-toi salope, mains dans le dos, tête basse !, mordonnait-elle sèchement.
Je regardais furtivement le Maître, celui-ci acquiesçait dun hochement de tête, alors jobéissais. Sitôt debout, Alice me palpait les bras, le cou, la poitrine, me pinçait les seins, examinait mes abdos, tâtait la musculature de mes cuisses, puis empoignait et pressait mes couilles, examinait mon sexe encore semi rigide, tirait douloureusement sur mon prépuce pour bien dégager mon gland, menfonçait ses doigts dans la bouche, mimposant de lécarter, scrutant soigneusement ma dentition, puis me faisait pencher en avant, écarter plus largement les cuisses pour expertiser, contrôler puis fouiller mon anus. Puis elle revenait devant moi, me giflait à deux reprises, comme ça, pour rien, juste pour le plaisir de mhumilier davantage. Je ne bougeais pas, ne bronchais pas, telle une marionnette je me laissais manipuler, comme on manipule un objet. Je nétais plus quun pantin de chiffon
Je me détestais, me haïssais, mais aussi me délectais, me régalais, mabandonnais, tout était paradoxe ! Mon esprit se perdait, abdiquait, je me sentais totalement dépossédé de mon être. Dévalorisé, perverti, débauché, totalement démuni, je sombrais dans la dépravation et le dévoiement, avec la queue raide comme jamais !
- Celui-ci me semble particulièrement docile !, lançait Alice
- Il lest, lui répondait sobrement le Maître
- Sait-il prendre de bonnes queues, tant par la bouche que par le cul ?, interrogeait encore Alice
- Oui il sait !
- Et brouter un bon minou ?
- Il nen a pas lexpérience, comment dire
ce nest pas
Il préfère les hommes !
- Je suis certaine quil appréciera le mien, sinon ça chauffera pour lui, ça je peux lui le garantir.
- Il sait quil doit obéir à tout, il est là pour ça
Cet échange continuait encore longtemps. Silencieux et impassible, je navais dautre choix que découter et de me laisser tripoter. Les mains dAlice couraient sur mon corps, palpaient, tâtaient, inspectaient, les miennes étaient posées derrière ma nuque. Je gardais la tête basse, totalement résigné, je perdais ma dignité, mon humanité mais savais que ce temps vécu me permettrait de trouver, un jour, la plénitude et la jubilation. Là, nayant jamais vécu une situation pareille, avec une femme de surcroit, je navais aucune assurance que dans les minutes à venir, je ne paniquerais pas. Quéprouvais-je réellement ? Une impression de ne pas être celui qui était contraint, nu, offert et chancelant, je nétais pas non plus en dehors de mon corps. Jétais là, sans lêtre. Mes bras commençaient à sengourdir, je me forçais à repousser cette sensation au fond de ma conscience. Linconfort, ce nétait pas ce qui était important
Je me sentais plus quune chose, un être sans consistance, dont les fonctions primaires, comme bouger, dialoguer, échanger, ne mappartenaient plus ! Bien souvent mes fantasmes mavaient conduit dans de telles situations, ils me secouaient les tripes, alors que je me secouais la nouille, la branlais et obtenais des jouissances hors du commun
mais entre mes forts fantasmes et la réalité que jétais justement en train de vivre, je constatais avec lucidité que je ne pouvais pas me branler et lâcher mon plaisir éjaculatoire
! Et cette réalité me faisait encore plus bander !
Ici, bel et bien, je me trouvais dans ce monde imaginé à maintes reprises, dans ce monde pervers, nu et immobile, jéprouvais un sentiment de peur mêlé dun effroi gigantesque mais aussi dune excitation incroyable, surdimensionnée. Là, plus dhallucinations, plus dimages érotiques, mais une certitude et une matérialité
à maintes reprises tripoté, abusé et exhibé, je vivais lindécence et limmoralité bien souvent rêvées.
- Cest daccord ma chère Alice, je vous le prête pour vingt-quatre heures. alexsoumis saura, jen suis sûr, vous servir et vous obéir et surtout donner du plaisir à mon vieil ami, Jean. Ce prêt sera donc votre cadeau danniversaire.
La sentence venait de tomber sans que je puisse réagir, dire, faire
Plus que jamais je me sentais une chose, un objet, un outil, un machin, un esclave sexuel
.
(A suivre
)
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